Graines de jardin : beau à croquer !

3 jours 14 heures ago
La 14ème édition de Graines de jardin se déroulera les 27 et 28 mai au Jardin des plantes de Rouen. Cette année, les vergers et les potagers sont à l'honneur pour une thématique "jardins gourmands." La plus grande fête de France gratuite dédiée au jardinage est de retour ! Chaque année, des milliers de visiteurs, jardiniers amateurs, simples curieux ou professionnels, viennent parcourir les allées du Jardin des plantes de Rouen. Pour cette nouvelle édition, autour de la thématique ‘’jardins gourmands’’, vergers et potagers seront mis à l’honneur ! Ces derniers ont toujours constitué une composante importante dans l’art d’aménager les jardins et offrent le plaisir incomparable de récolter soi-même les fruits et légumes que l’on a précieusement cultivés et de les partager avec ses proches. La biodiversité végétale est ainsi source de découvertes gustatives et garante d’une alimentation saine et équilibrée, aux qualités nutritionnelles avérées. Au programme : découverte des stands (horticulteurs, pépiniéristes, producteurs bio, exposants de décoration, libraires spécialisés, etc), spectacles, ateliers créatifs, animations ou encore visites guidées ! Cette année, le jardin du château de Miromesnil est partenaire du festival. Un jardin exceptionnel, transmis au fil des générations qui combine la géométrie française et l'irrégularité des formes anglaises tout en proposant une grande variété de plantes. Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie, Maire de Rouen, Charlotte Goujon, Vice-Présidente de la Métropole Rouen Normandie en charge de la transition écologique et Jean-Michel Bérégovoy, Adjoint au Maire en charge notamment de la Ville résiliente et de la transition énergétique : « Jardins gourmands : c’est le thème de cette 14ème édition du festival Graines de Jardin. Les nombreux défis actuels (pandémie, conflit international, crise économique, rapport du GIEC) nous obligent à revenir aux fondamentaux, à prendre soin de notre terre et à valoriser le circuit court alimentaire. Revenir au plaisir gustatif de manger le fruit de sa propre récolte, allier les découvertes gustatives à la nécessité d’une alimentation saine, équilibrée et respectueuse de l’environnement, c’est ce que nous vous invitons à découvrir ce week-end ! Nous sommes fiers de proposer chaque année sur notre territoire le premier festival gratuit dédié au jardinage en France. Bon festival à la découverte du jardin, de ses saveurs et de ceux qui les font vivre ! ». Pour cette 14ème édition, le festival accueille comme jardin partenaire le Château de Miromesnil. Le château de Miromesnil est une demeure privée du XVIe siècle située en Normandie, à quelques kilomètres de Dieppe. La propriété appartient à la même famille depuis trois générations. Il est actuellement ouvert à la visite et propose de nombreux évènements, mais aussi des séjours et des réceptions tout au long de l’année. Tout contre le château se trouve le jardin potager de Miromesnil, entouré de murs en briques et offrant une variété de senteurs et de couleurs. Ce jardin combine la géométrie française et l'irrégularité des formes anglaises. La première vocation du jardin potager fut nourricière puis, très vite, des fleurs seront ajoutées. Il est composé de quatre carrés de légumes séparés par des allées de gazon et bordés par des plates-bandes de fleurs mélangées appelées « mix-borders ». Cette disposition a été créée par la grand-mère de la propriétaire actuelle, la comtesse Simone de Vogüe, après la seconde guerre mondiale. Il a aujourd’hui une renommée internationale. Ce potager classé jardin remarquable nécessite un entretien régulier tout au long de l'année. Cela inclut l'utilisation de composte, le paillage des allées, la construction de structures de maintien pour les cucurbitacées et bien d’autres méthodes. Pour poursuivre sur la thématique de cette année, des visites commentées du Verger conservatoire du Jardin des plantes seront proposées au public autour de 3 propositions : • Historique du verger et de sa collection patrimoniale de pommiers et poiriers Découvrez les différentes variétés de pommiers et de poiriers normands, conservées au verger depuis des années au jardin des plantes. Vous pourrez notamment observer et comprendre le rôle de la taille de formation des arbres fruitiers. • La gestion écologique et les aménagements favorables à la biodiversité au verger Venez comprendre le mode de gestion du verger pour permettre une production de fruits en accord avec le respect de la nature. Vous pourrez découvrir différents aménagements, favorisant le développement de toute une biodiversité intéressante pour le jardinier. • Historique du verger et de sa collection patrimoniale de pommiers et poiriers Observez les différents arbres fruitiers et arbustes à petits fruits du verger, comme le Mûrier, l’Actinidia ou encore le Goji… Vous pourrez en connaître un peu plus sur leur culture, notamment en Normandie et sur leurs apports nutritionnels. Ces visites sont animées par les jardiniers de la Ville de Rouen, sur inscriptions, pour le grand public et adultes, avec des groupes de 15 personnes, durant 30 minutes environ. Situés sur la pelouse centrale du Jardin, au niveau du décor éphémère, les jardiniers de la Ville de Rouen renseigneront également le public sur les différentes parties comestibles des plantes et plus largement sur la culture des plantes (notamment les racines, tiges, écorces ou encore fleurs ou feuilles comestibles). Les visiteurs pourront déambuler sous une tonnelle monumentale couverte de légumes grimpants. Dans la partie centrale de la tonnelle, les ateliers de jardinage se dérouleront dans un décor façon cuisine de ferme des années 60. Ce décor restera en place tout au long de l’été. Les spectacles proposés seront également pour partie inspirés du thème de la cuisine notamment « Ratatouille Rhapsody » de la Compagnie Ca s’peut pas ou encore « Poésie à fleur de pot » de la Compagnie Quat’z’yeux. Les spectacles « 2dans l’arbre » de la compagnie In Fine et la Fanfare qui bouge régaleront également les visiteurs. À l’occasion de l’inauguration du festival qui se tiendra samedi 27 mai à 10h30, la parcelle du carré de la « Flore normande » sera inaugurée. L’aménagement de cet espace est à vocation pédagogique et scientifique (conservation de la flore sauvage de Normandie), en phase avec les missions auxquelles la Ville de Rouen s’est engagée pour être labellisée « Jardin Botanique de France ». L’objectif est de recréer sur la parcelle, de façon symbolique dans l’aménagement paysager, les différents « écotypes » représentatifs de la flore normande (pelouses calcicoles, prairies humides, tourbières...) et de faire le lien avec les milieux naturels que la Ville gère sur son territoire (Côte Sainte-Catherine, Repainville...). Le traditionnel vide-jardin permettra de faire le plein de bouture, d’ustensiles de jardin ou de végétaux, entre particulier. Enfin, en complément des stands des exposants (pépiniéristes, horticulteurs, décoration de jardin, marché local et bio), de nombreux ateliers seront proposés par la Métropole, la Ville et les associations présents, autour de l’art floral par exemple avec la réalisation d’un gâteau floral ou encore de bouquets gourmands ou de la découpe de fruits avec la réalisation d’animaux ou de fleurs. Retrouvez le programme complet du week-end d'animations.

Cap sur l'Armada et sur 2028

4 jours 16 heures ago
Dans le cadre du Conseil métropolitain réuni lundi 22 mai 2023, la Métropole Rouen Normandie a engagé une série de mesures fortes notamment pour la bonne organisation de l’Armada 2023 et la candidature du territoire au titre de Capitale européenne de la Culture. Les échéances et les enjeux sont posés. De nombreuses études pour la reconversion et le développement culturels de sites remarquables de la métropole sont dorénavant mises en route. Pour l’Armada, qui se tiendra du jeudi 8 au dimanche 18 juin 2023, la Métropole se mobilise massivement : renforcement des transports en commun, créations de parkings relais, de points de vente et d’information et de trois titres de transports spécifiques, accueil des camping-caristes, soutien direct aux communes concernées pour la descente en Seine du 18 juin… Cap sur l’Armada ! Rouen Pass, le Pass Tourisme de l’Office de tourisme, intègrera les musées métropolitains début juillet pour permettre la visite des richesses muséales du territoire en toute simplicité. La procédure d’adoption du Règlement Local de Publicité intercommunal (RLPi) suit par ailleurs son cours et la Métropole finance des projets structurants portés par les communes dans le cadre de la solidarité intercommunale, à hauteur de 2,3 millions d’euros. Enfin, le service Cy’Clic devient dès le mois de juillet Lovélo libre-service et s’étend à de nouvelles communes à partir de septembre ! Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie : « Nous marquons des points, et cela se voit ! Du 8 au 18 juin, nous accueillerons des bateaux du monde entier, et des millions de visiteurs à l’occasion de l’Armada 2023. Ce grand rendez-vous populaire et festif fera l’objet d’une mobilisation massive de notre Établissement : renforcement des transports en commun, créations de parkings relais spécifiques, de points de vente et d’informations, ainsi que de titres de transports dédiés… Les camping-caristes pourront stationner sur les aires de Repainville, de la halte nautique de l’île Lacroix et à Val-de-la-Haye sur une aire ouverte pour l’occasion. La Métropole se met par ailleurs à disposition des communes concernées par le parcours de la descente en Seine du 18 juin : prise en charge de la collecte des déchets, signalétique et mise en place de déviations, mutualisation de prêt de matériel, communication… Nous débloquons par ailleurs une enveloppe globale de 30 000 € destinée à accompagner les 19 petites communes engagées dans des frais liés à la descente en Seine ! L’Armada sera cette année une véritable vitrine pour l’ambition et l’aventure qui nous lient, territoires connexes de l’Axe Seine :  notre candidature au titre de Capitale européenne de la Culture ! Nous votons à ce Conseil une série d’études destinées à évaluer le potentiel de requalification et de développement culturel de multiples sites remarquables sur l’ensemble du territoire. Cap sur l’Armada ! Cap sur Capitale européenne de la Culture ! La procédure d’adoption du Règlement Local de Publicité intercommunal suit par ailleurs son cours. Nous lançons le service Lovelo libre-service, en remplacement de Cy’Clic. Les vélos seront désormais disponibles dans plusieurs communes de la Métropole. Nous développons le Rouen Pass en intégrant les musées métropolitains début juillet, et adoptons des investissements massifs pour soutenir des projets structurants engagés par les communes, à hauteur de 2,3 millions d’euros. On se bat. On ne lâche rien. Pour retrouver le dossier presse complet

Le concours Créactifs est ouvert. À vos candidatures !

1 semaine 5 jours ago
La quinzième édition du concours Créactifs, destiné à soutenir et accompagner des jeunes porteurs de projets innovants, a débuté vendredi 12 mai. Les candidatures sont ouvertes. Le rendez-vous incontournable pour les jeunes et leurs projets innovants revient avec une thématique centrale : la transition social-écologique. Les habitants du territoire, âgés de 18 à 30 ans, pourront soumettre leurs projets jusqu’au 15 septembre prochain. Ce concours a déjà permis de soutenir plus de 122 jeunes porteurs de projets et d’accompagner la création de 79 entreprises sur le territoire ! Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie et Nadia Mezrar, Vice-Présidente en charge de l’emploi, les solidarités, la jeunesse : « Créactifs est une façon concrète de soutenir la jeunesse et d’encourager les initiatives audacieuses. Chaque année, le jury a plaisir à découvrir des projets riches et innovants, portant sur les diverses compétences de la Métropole. Cette année comme l’an passé, la question de la social-écologie est au cœur de l’appel à candidatures. C’est un sujet qui est à la fois moteur et incontournable tant il est urgent de lutter contre le réchauffement climatique. » Véritable coup de pouce aux jeunes, le concours Créactifs, lancé par la Métropole en 2009, soutient des initiatives écocitoyennes en finançant des projets : • présentés par des jeunes de 18 à 30, seuls ou en groupe, • qui habitent la Métropole ou dont le projet concerne notre territoire, • et qui portent un projet novateur, prenant pleinement en compte le développement durable et s’inscrivant dans l’un des domaines des compétences de la Métropole. Développement économique, environnement, services publics (mobilité, eau, assainissement, déchets), solidarité (politique de la ville, insertion des publics en difficulté, lutte contre les discriminations, égalité entre les femmes et les hommes, promotion de la santé…), culture, tourisme, habitat, enseignement supérieur, recherche, coopération décentralisée … les sujets concernés sont vastes. Cette année, en adéquation avec les objectifs portés par la Métropole, les propositions intégrant la transition social-écologique seront particulièrement encouragées. Ainsi, une prime complémentaire d’un montant de 2 500€ sera accordée aux 2 dossiers ayant eu la plus forte notation sur le critère de la transition sociale et écologique. Ce concours permet aux jeunes de participer activement à la vie de la collectivité, en les associant à la construction d'une métropole plus durable et plus inclusive, tout en leur donnant l'opportunité d’avoir un financement pour leur projet grâce à une aide pouvant atteindre 5000 €. Afin de favoriser l’émergence des projets contribuant au développement des quartiers prioritaires de la ville* (QPV) et territoires de veille (TV), le jury peut accorder une prime complémentaire pouvant atteindre 2500 € aux lauréats domiciliés dans un QPV ou un TV ou dont les projets visent directement le développement de ces quartiers ou territoires. Le concours Créactifs mise aussi sur des valeurs citoyennes. Ainsi, en échange du prix versé, le jeune lauréat s’engage à réaliser une action bénévole qui profitera à la collectivité. CALENDRIER 2023 : • lancement du concours : vendredi 12 mai • fin de dépôt des candidatures : vendredi 15 septembre • présélections : du 16 au 20 octobre • auditions : entre le 13 et le 17 novembre • proclamation des résultats : entre le 27 novembre et le 1er décembre Pour participer, le dossier d’inscription est à compléter directement en ligne : * Les 16 quartiers prioritaires sont répartis sur 14 communes. Ils représentent une population de 46 710 habitants. Sur le territoire de la Métropole Rouen Normandie ont été retenues les quartiers prioritaires qui se trouvent sur les communes de : Bihorel, Canteleu, Cléon, Darnétal, Elbeuf, Grand-Couronne, Maromme, Notre-Dame-de-Bondeville, Oissel, Petit-Quevilly, Rouen, Saint-Aubin-lès- Elbeuf, Saint-Étienne-du-Rouvray et Sotteville-lès-Rouen.  Les 9 territoires de veille active que compte le territoire de la Métropole sont répartis sur 4 communes : Caudebec-lès-Elbeuf, Déville-lès-Rouen, Grand Quevilly et Oissel.  

Convention citoyenne : engagez-vous !

2 semaines 2 jours ago
La Métropole invite les citoyens à devenir acteurs du changement en participant à la convention citoyenne sur la transition écologique. Vous avez jusqu'au 5 juin pour candidater. La Métropole Rouen Normandie lance une démarche originale et mobilisatrice, permettant la production de réponses innovantes pour le développement et l’aménagement du territoire. De l’urbanisme à l’habitat, en passant par les mobilités, le commerce ou encore les énergies, la collectivité invite les citoyens partager leur vision de l’avenir du territoire et à identifier les changements nécessaires. Jusqu'au 5 juin, un appel à volontaires est lancé visant à désigner un panel représentatif de la population. Un tirage au sort permettra de désigner 100 volontaires qui se réuniront pendant six sessions de travail, de septembre 2023 à juin 2024, pour aborder de nombreux domaines de la vie quotidienne sous l’angle des transitions environnementales, climatiques et sociales. Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie, Sylvie Nicq-Croizat, Vice-Présidente en charge de la démocratie participative, de la coconstruction citoyenne et de l’open data, Djoudé Merabet, Vice-Président en charge de l’urbanisme, et Charlotte Goujon, Vice-Présidente en charge de la transition écologique, de la santé, de la sécurité sanitaire et industrielle : « Nous devons faire évoluer l’aménagement du territoire pour plus de sobriété, pour que nos actions répondent mieux aux enjeux de transition social-écologique qui sont plus que jamais prioritaires. Mais nous devons aussi agir sur la méthode, en transformant jusqu’à la genèse de nos projets. La vie quotidienne est profondément liée aux politiques publiques, les citoyens sont les premiers concernés : habitat, espaces publics, commerce, déplacements... C’est certes pour eux, mais avant tout avec eux, que nous pourrons être résilients face aux changements climatiques et sociaux. En somme, construire un avenir désirable, collectivement." La concertation au service du projet de territoire La révision des grands documents de planification (SCoT, PCAET, PLUi...) est pour la Métropole Rouen Normandie l’occasion d’engager une réflexion sur l’avenir du territoire. Ayant fait de la concertation publique l’une de ses dynamiques centrales, la collectivité a fait le choix de mettre en place une démarche ambitieuse de coconstruction permettant de : 1. Mobiliser le territoire autour d’un projet ambitieux en matière de transition social-écologique et de résilience, en lien avec toutes les thématiques précédemment citées ; 2. Coconstruire le SCOT-AEC et le PLUi avec tous les acteurs du territoire (économiques, institutionnels et associatifs, ainsi que les habitants) ; 3. Identifier ensemble les leviers, les marges de progrès et les axes prioritaires d’intervention par thématique et par acteur ; 4. Contribuer à la définition de la feuille de route pour le territoire et ses acteurs (la Métropole elle-même et les communes du territoire, les collectivités et autres acteurs institutionnels, les entreprises, les associations...) ; 5. Pour les citoyens, identifier les évolutions comportementales à opérer et les déclencheurs nécessaires afin d’atteindre les objectifs fixés. Afin que cette concertation soit à la hauteur de ses ambitions, la collectivité a fait le choix de se doter d’un outil de participation citoyenne permettant une contribution pertinente et éclairée. Cette convention permettra de recruter, former et sensibiliser une centaine de citoyens représentatifs de la population, afin qu’ils travaillent aux côtés des pouvoirs publics à l’élaboration de réponses innovantes pour le territoire. 100 habitants pour coconstruire le territoire de demain Un appel à volontaires est diffusé via les canaux de communication de la Métropole Rouen Normandie, jusqu'au 5 juin 2023. Cet appel à candidatures permettra d’identifier des volontaires afin de constituer un échantillon représentatif de la diversité de la population, selon des critères de parité de sexe, d’âge, de type de commune de résidence, et d’activité professionnelle. Pour assurer la diversité des profils au sein de la convention, sa composition répondra à des critères basés sur les données Insee du territoire. Un tirage au sort public avec huissier sera effectué le mardi 27 juin à 19h au Parc des expositions à l’occasion des Rencontres européennes de la Participation. Il permettra de désigner les 100 volontaires retenus et 50 remplaçants en cas de désistement. Toutes les informations et inscriptions Six sessions de travail pour penser des actions concrètes Les membres de la Convention citoyenne se réuniront lors de six sessions de travail, entre septembre 2023 et juin 2024. Lors de ces sessions, ils étudieront une multitude de domaines de la vie quotidienne (l’alimentation, l'habitat, l’urbanisme, les déplacements, l’activité économique, les modes de consommation...) sous l'angle des transitions environnementales, climatiques et sociales. Accompagnés par des experts, ils auront également la possibilité d’échanger en direct avec les élus métropolitains concernés. Ils débattront des questions stratégiques et des implications dans leur vie quotidienne : - Comment nous adapter au changement climatique ? - Quels sont les services du quotidien nécessaires au bien-vivre ? Comment les répartir sur le territoire de la métropole ? - Comment devrons-nous nous déplacer demain ? - Quels types de logements privilégier dans les années à venir ? Comment développer la mixité sociale sur le territoire ? - Comment favoriser l'accès de tous aux espaces publics et mieux partager leur usage ? - Quelle sera l’industrie de demain ? - Fast fashion, plateformes de livraison de repas à domicile, e-commerce... quel avenir pour ces nouveaux modèles de consommation et quels impacts ? - Comment développer une alimentation plus saine en s'appuyant sur l'agriculture locale ? - Pourquoi et comment protéger et restaurer les sols, la nature et la biodiversité ? - La santé est-elle un enjeu d’aménagement du territoire ? - Quelles actions et quels changements pour atteindre la neutralité carbone en 2050 ? - Consommer moins d’énergie et devenir un territoire 100% à énergie renouvelable, à quelles conditions est-ce possible ? Ils donneront ainsi leur vision de l’avenir du territoire, identifieront les changements à impulser dans leur quotidien, leur habitat, leur commune ainsi qu’à l’échelle de la Métropole. Ils feront des propositions d’actions concrètes pour le territoire.

Passez la nuit au musée

2 semaines 3 jours ago
Samedi 13 mai, huit musées de la Métropole ouvrent leurs portes jusqu'à 23h, à l'occasion de la Nuit européenne des musées. Passez la nuit au musée. La 19e édition de la Nuit européenne des musées se déroule samedi 13 mai. Huit musées de la Métropole ouvrent leurs portes, jusqu'à 23h. Véritable rendez-vous culturel, cet événement propose une expérience du musée inédite. Cette année, la programmation est variée et participative. Vous pouvez vous immerger dans la culture viking, être à table à travers des ateliers et des visites commentées ou encore vous laisser emporter par des spectacles, projections et déambulations. Une trentaine d'animations dévoilent à tous les publics une facette inédite ou différente du musée d’aujourd’hui. Programme de la Nuit des musées

Le beau printemps du sport rouennais

3 semaines 2 jours ago
Même si toutes les compétitions ne sont pas encore achevées, le bilan sportif de la saison 2022-2023 est déjà très positif grâce aux titres des hockeyeurs et des basketteurs.   Les Dragons refroidissent les Brûleurs de loups Malgré leur énorme palmarès, les joueurs du Rouen Hockey Élite n’étaient pas favoris pour remporter la ligue Magnus : l’armada grenobloise paraissait invincible, surtout à l’issue d’une saison régulière dominée de manière autoritaire. Mais les Dragons de Rouen ont déjoué les pronostics pour remporter le championnat à l’issue d’une finale bien mal engagée par deux défaites - dont un cinglant 8-2 – et bouclée par quatre victoires consécutives. Le match du titre, disputé le vendredi 14 avril dans une patinoire en fusion, remporté en prolongation, a déjà intégré la glorieuse histoire du hockey rouennais.   Les Léopards sacrés et promus Le Rouen Métropole Basket va retrouver le championnat Pro B ! Les Léopards ont réalisé une superbe saison pour dominer le difficile championnat de Nationale 1. Bilan : le titre de champions et l’accession en Pro B. Difficile, la Nationale 1 l’est par son niveau, relevé et plutôt homogène, et sa durée. Le RMB a dominé la première phase, puis la seconde, s’évitant ainsi de disputer des playoffs toujours périlleux. C’est lors de la dernière journée de la seconde phase que les Léopards ont remporté titre et promotion en Pro B. Un match contre Chartres, au Kindarena, aux allures de finale puisque le gagnant faisait coup double. Les Léopards ont pu compter sur leur public : 5 572 spectateurs ont assisté à cette “finale”, ce qui constitue le record d’affluence pour un match de N1 ! Enfin, cette saison est magnifique jusqu’au bout : le capitaine Karim Gourari fait partie du 5 majeur de la saison. Sylvain Delorme a reproduit avec Rouen ce qu’il a accompli l’an dernier avec Angers : rafler le titre de N1, l’accession en Pro B et être désigné logiquement coach de l’année ! On attend avec impatience de le voir officier en Pro B...     Le suspense pour les autres... Les autres équipes métropolitaines n’ont pas encore achevé leur saison. On sait déjà que le Rouen Normandie Rugby reste en Pro D2 grâce à deux victoires capitales, dont l’une face à Béziers au stade Robert-Diochon devant plus de 6000 spectateurs. Quevilly Rouen Métropole va aussi se maintenir en Ligue 2 de football, notamment grâce à un hiver et un début de printemps tonitruants. Trois équipes peuvent encore accéder à la division supérieure : le Football Club de Rouen qui vise le National 1, et le Rouen Handball masculins et féminines. Enfin, les pongistes du SPO Rouen Tennis de Table disputent le dernier match de la saison régulière de Pro A le 9 mai. Ils sont encore en course pour se qualifier pour les playoffs, et donc encore en course pour remporter le titre.

Lovélo libre service : dès cet été, roulez quand vous voulez !

3 semaines 3 jours ago
Le nouveau service de vélos libre-service remplaçant les vélos Cy'clic à Rouen sera opérationnel à l'été prochain et étendu sur plusieurs communes du territoire. Annoncé en 2022, le nouveau service de vélos libre-service remplaçant les vélos Cy’Clic à Rouen sera opérationnel à l’été 2023. Alors que Cy’Clic était uniquement disponible en centre-ville de Rouen, Lovélo libre-service sera étendu dès septembre à d’autres communes de la Métropole. Ce nouveau service proposera près de 1000 vélos disponibles en location courte durée à l’horizon 2024. Dès juillet, 60 stations Lovélo seront accessibles à Rouen, puis 11 stations à Petit-Quevilly et 17 stations à Sotteville-lès-Rouen dès le mois de septembre 2023. Les nouveaux vélos mécaniques connectés permettront d’allier efficacité, sécurité et facilité d’usage pour des mobilités douces plus accessibles que jamais. Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie, Cyrille Moreau, Vice-Président en charge des transports, des mobilités d’avenir et des modes actifs de déplacement et Juliette Biville, Conseillère Métropolitaine déléguée aux modes actifs de déplacement : "Les vélos en libre-service sont une solution de mobilité en évolution permanente. Les usages changent, progressent. Les cyclistes attendent plus de facilité d’usage, plus de flexibilité dans la réservation pour gagner du temps et du confort. Le VLS s’inscrit dans une démarche d’intermodalité : il vient en complément d’un trajet en bus, pour relier deux pôles d’échange par exemple. Nous avons souhaité mettre en place une solution simple et efficace, connectée, pour que les mobilités douces deviennent aussi pratiques que systématiques. Simple et économique : les deux conditions essentielles pour encourager à préserver la santé, le climat et le pouvoir d’achat. " Une solution connectée, facile et agile ! Avec ses vélos mécaniques équipés de cadenas connectés, Lovélo libre-service permettra de louer son vélo en quelques clics, directement depuis un smartphone. Cette solution alliant simplicité d’utilisation et sécurité pour le parc de vélos offirira aux usagers un service fiable et fluide, pour les déplacements du quotidien comme pour un usage touristique. La tarification du service sera soumise au vote lors du Conseil Métropolitain du 22 mai 2023. Lovélo : la marque des services vélo de la Métropole Rouen Normandie Lovélo est la marque centralisant tous les services de mobilités cyclables du territoire Métropolitain. Après l’ouverture de Lovélo Location Longue Durée aux particuliers en septembre 2021, puis son extension aux micro-entreprises en 2023, la Métropole Rouen Normandie a proposé dès le début d’année un service de stationnement vélo sécurisé. Avec plus de 200 places de stationnement sécurisé d’ici à cet été et 3000 contrats de location longue durée déjà mis en place depuis l’ouverture du service, Lovélo s’impose d’ores et déjà sur le territoire comme un outil incontournable pour les mobilités douces. Plus d'infos

Mai à vélo : un mois d'animations dans la Métropole

1 mois ago
Mai à vélo, ce sont des rendez-vous partout en France et dans la Métropole, pour toutes et tous pour fêter le vélo. Un mois pour le découvrir, le reste de l’année pour l’adopter et l’utiliser ! A l’occasion de Mai à vélo et de la Journée mondiale du vélo, la Métropole Rouen Normandie et les communes du territoire se mobilisent et proposent au grand public des temps d’animations et de découverte dédiés au Vélo. Du 6 mai au 3 juin, de nombreuses animations seront proposées aux habitants sur tout le territoire : ateliers de réparation, bourse aux vélos, balades, code de la route… Autant d’occasions de (re)découvrir la « petite reine » en famille ! Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie, Cyrille Moreau, Vice-Président en charge des transports, des mobilités d’avenir et des modes actifs de déplacement et Juliette Biville, Conseillère Métropolitaine déléguée au vélo : « Les mobilités douces, et plus particulièrement la pratique du vélo, sont en progrès à travers toute la Métropole Rouen Normandie. Nous avons à cœur d’accompagner les habitants dans cette transition en leur proposant toute l’année des services de qualité : de plus en plus de pistes cyclables, des services de location longue et courte durée, des moyens de stationnement sécurisés… Mai à Vélo est l’occasion de mettre en valeur nos actions, les outils que nous proposons, et de sensibiliser : le vélo, c’est bon pour la santé, le climat, et le pouvoir d’achat ! » Pavillon des transitions Mai à vélo est l’occasion d’inaugurer l’obtention du label « Accueil Vélo » par le Pavillon des transitions. La marque nationale « Accueil Vélo » est mise en place sous l’égide de France Vélo Tourisme par les organismes touristiques locaux afin de réserver le meilleur accueil aux cyclistes partout en France. situé sur le parcours de la Seine à Vélo, le Pavillon des transitions proposera aux cyclistes les services d’abri vélo, kit de réparation, de gonflage… et de la documentation dédiée. Le vendredi 12 mai à 18h30, le Pavillon des transitions accueillera une soirée découverte dédiée au tourisme à vélo. Organisée en partenariat avec l’association Guidoline, cette soirée a pour objectif de découvrir les vacances à vélo. En solo, en famille ou entre amis, échangez avec des vacanciers à vélo afin de préparer votre propre voyage. Le plus : une présentation d’itinéraires au départ du territoire de la Métropole Rouen Normandie. Retrouvez le programme complet de Mai à vélo du 6 mai au 3 juin.  

De la place pour tout le monde

1 mois 3 semaines ago
Nos modes de déplacement évoluent, notre rapport à l'espace public également. À nous - piétons, deux-roues, automobilistes... - d'adapter nos comportements pour trouver l'apaisement. En avril, le Mag de la Métropole consacre son dossier au civisme et aux bons comportements sur l'espace public. En interview, Antoine Channarond, coresponsable de Sabine, l'association vélo de Rouen et sa métropole, insiste notamment sur la courtoisie et l'attention que chaque usager doit porter aux autres, qu'ils soient à pied, à vélo, à trottinette, en voiture, en bus, en poids lourd... Retrouvez également douze situations illustrées où la cohabitation entre usagers peut s'avérer délicate : le méconnu panneaux M12, le double sens cyclable, le sas réservé, les distances de sécurité, la technique de la "poignée hollandaise"... Vous pouvez également retrouver ces douze situations en vidéo sur les réseaux sociaux de la Métropole : Instagram, facebook, YouTube.

Culture du risque : la Métropole récompensée pour ses actions

1 mois 3 semaines ago
La Métropole Rouen Normandie a été récompensée pour son programme d’actions sensibilisant le grand public aux risques sanitaires, environnementaux et industriels, lors de la journée nationale dédiée à ces thématiques. La Métropole Rouen Normandie a été récompensée pour son programme d’actions mis en place suite à l’appel à projets de l’État « Tous résilients face aux risques ». Lancé en 2022, cet appel à projets visait au déploiement d’événements en faveur de la sensibilisation du grand public aux risques sanitaires, environnementaux et industriels, lors de la journée nationale dédiée à ces thématiques. Ateliers, visites, table-ronde, spectacles... Du 12 au 16 octobre 2022, la collectivité avait proposé un cycle de quatre jours d’animations intitulé Les Journées de la Culture du Risque, qui, après avoir été retenu lors de la phase de labellisation, a été récompensé par l’État parmi d’autres propositions. Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie et Charlotte Goujon, Vice-Présidente en charge de la transition écologique, de la santé, de la sécurité sanitaire et industrielle : « Les événements climatiques violents se multiplient : sécheresse, canicule, inondations... Le risque industriel est également particulièrement présent à l’esprit des habitants de notre métropole. Il nous semblait essentiel de sensibiliser, pour prévenir ces risques, mais aussi pour adopter collectivement les bons gestes en cas d’incident. » Parmi les 400 porteurs de projets et près de 2 000 actions de toutes sortes, ce sont 30 lauréats qui ont été récompensés lors de cette remise de prix qui s’est tenue le vendredi 31 mars 2023 au ministère de l’Intérieur : - 4 lauréats nationaux, ayant porté des actions sur l’ensemble du territoire, - 26 lauréats territoriaux, dont la Métropole Rouen Normandie, pour leurs actions déployées localement. Face au succès de cette première édition, le ministère a annoncé la poursuite de cette opération, avec une nouvelle journée nationale le 13 octobre 2023. La Métropole travaille déjà sur sa déclinaison locale, en entamant la construction des prochaines Journées de la Culture du Risque. La Métropole Rouen Normandie a proposé en 2022 un programme riche permettant de sensibiliser les adultes comme les enfants à la gestion des risques, lui valant la labellisation puis le prix décerné par l’État. En effet, la collectivité a mis en place un village d’animations multi partenariales au Pavillon des Transitions, associant des acteurs associatifs et institutionnels. 10 ateliers ont ainsi été proposés aux visiteurs. De plus, des visites de sites industriels ont été organisées en partenariat avec l’Union pour la Synergie Industrielle et le Développement Économique (UPSIDE) sur les sites de Tessenderlo, Lubrizol et le SMEDAR.

La Métropole poursuit son engagement pour la transition social-écologique

1 mois 4 semaines ago
La Métropole Rouen Normandie a adopté ce lundi 27 mars 2023 une série de mesures fortes avec pour principal objectif de poursuivre la transition social-écologique engagée à l’échelle du territoire. La Métropole  a adopté une série de mesures fortes pour le territoire. Une aide exceptionnelle de 300 000 euros pour l’Opéra de Rouen est adoptée. La Métropole engage par ailleurs la création d’un parking de covoiturage à Tourville-la-Rivière, participe au programme ColisActiv’, pour encourager la décarbonation des livraisons de colis et met en place un guichet unique pour faciliter les demandes d’aides pour l’identification des cavités souterraines. Le conseil métropolitain vote enfin des investissements conséquents pour soutenir des projets structurants portés par les communes. Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie : « Nous intervenons en urgence pour l’Opéra de Rouen : notre mobilisation a permis d’obtenir une aide complémentaire de l’État de 200 000 €, s’ajoutant à celle que nous débloquons, de 300 000 €. Nous préservons ainsi l’opéra participatif pour les enfants… et les plus grands. Pour lutter contre l’autosolisme, nous engageons avec la Société des autoroutes Paris-Normandie (SAPN) la création d’un parking dédié au covoiturage. Avec le Département de la Seine-Maritime, nous mettons en place un guichet unique visant à faciliter l’accès aux aides à destination des particuliers pour identifier les cavités souterraines. C’était une demande forte des communes et plus largement des habitants concernés par ces risques. Nous déployons enfin des investissements massifs (2 832 000 euros) à destination des communes pour des projets structurants qu’elles portent, au titre du Fonds d’aide à l’aménagement (FAA) et du Fonds d'aide aux communes pour l'investissement local (FACIL). Nous tenons le cap de la solidarité, de la transition social-écologique et nous nous battons pour un territoire plus attractif et résilient. On se bat, on ne lâche rien. » Conseil Métropolitain du 27 mars 2023

Imaginez le musée du futur

2 mois ago
Le samedi 1er avril, participez à des ateliers ludiques pour créer le Pôle muséal Beauvoisine, fusion du Muséum d'histoire naturelle et du musée des Antiquités. Le Muséum d'Histoire Naturelle et le Musée des Antiquités font l'objet d'un grand projet de fusion et de rénovation pour créer un nouvel équipement : le pôle muséal Beauvoisine. Inauguration prévue ? Horizon 2028, dans le cadre de la candidature de Rouen au titre de Capitale européenne de la culture. Le projet fait l’objet d’une grande concertation citoyenne depuis 2018 pour donner la parole aux habitants du territoire et inventer collectivement le musée de demain. Après 4 années de coconstruction rythmées par des rencontres, des ateliers participatifs, des balades urbaines, un Muséomix et des consultations en ligne, le projet entre dans une phase décisive pour bâtir la scénographie, l'expérience utilisateur, la programmation et plus encore, du futur musée. Dans ce cadre, samedi 1er avril, la Métropole proposera l’événement « Les rêveries de Beauvoisine », une journée de création collective organisée hors les murs, au Centre culturel André-Malraux situé sur les Hauts-de-Rouen. La journée sera rythmée par six ateliers thématiques qui seront animés par des artistes/agitateurs connus et reconnus : Bruno Putzulu, Soria Ieng, Basile Bohard, Maël Magat, Charles Ayats et Gaël Musquet. Tous les habitants, familiers ou non de l’univers des musées, sont invités à participer à cette journée collective d’innovation citoyenne.   Infos pratiques : Samedi 1er avril de 9 h 00 à 18 h 00 (accueil, café et repas du midi offerts) Centre André-Malraux, 110, rue François-Couperin, à Rouen Accessible aux personnes à mobilité réduite Accès en transports en commun- TEOR 2 (Arrêt « Couperin ») Cet événement est ouvert à tous, uniquement sur réservation

Le label Villes et pays d'art et d'histoire est renouvelé pour la Métropole

2 mois ago
Le label Villes et pays d'art et d'histoire est renouvelé pour le territoire de la Métropole Rouen Normandie jusqu'en 2033. Par un courrier du Préfet de la Région Normandie, Jean-Benoît Albertini, la Métropole Rouen Normandie vient d’apprendre le renouvellement de son label Villes et pays d’art et d’histoire (LVPAH) pour la période 2023-2033. Ce renouvellement vient souligner la politique culturelle et plus particulièrement, la politique patrimoniale forte mise en place depuis plusieurs années et aujourd’hui construite sur des objectifs de transition sociale-écologique. Pour notre territoire, candidat au titre de Capitale européenne de la culture en 2028, c’est un outil privilégié pour infuser la valorisation de nos patrimoines, ressources culturelles riches, diversifiées et inépuisables à l’échelle des 71 communes. Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen et Président de la Métropole Rouen Normandie, Laurence Renou, Vice-Présidente en charge de la Culture et Christine de Cintré, Conseillère métropolitaine déléguée en charge du tourisme et de Rouen Capitale européenne de la culture 2028 : « La candidature pour le renouvellement de ce label a été l’occasion de redéfinir nos objectifs en lien avec la transition sociale et écologique, en considérant le patrimoine comme ressource de notre territoire et plus seulement comme enjeu d’attractivité. Valeurs également partagées dans notre candidature pour être Capitale européenne de la Culture en 2028. Nous allons donc poursuivre le travail engagé, au regard de nos nouveaux objectifs, et en imprégnant nos actions quotidiennes des principes de la Convention de Faro et des Droits culturels. » Créé en 1985, le label Ville ou Pays d'art et d'histoire est attribué par le Ministre de la Culture aux communes ou groupements de communes qui s’engagent dans une politique de sensibilisation des habitants, des visiteurs et du jeune public à la qualité du patrimoine, de l’architecture et du cadre de vie. À ce jour, le réseau national compte 190 Villes et pays d’art et d’histoire en France. En 2012, le label Villes et pays d’art et d’histoire (LVPAH) de la Métropole avait été défendu devant le Ministre de la Culture lui-même. Depuis son obtention, la Métropole œuvre donc au quotidien à la mise en place de ce label à la dimension de ses 71 communes. Attribué pour 10 ans, il devait être renouvelé. C’est désormais la Commission Régionale du Patrimoine et de l'Architecture qui étudie les dossiers de renouvellement. Réunie le 29 novembre 2022, la Commission a été sensible « à l'engagement de la Métropole en faveur d'une politique culturelle et notamment patrimoniale forte, construite en transversalité avec les objectifs de transition écologique et sociale ». Elle a également salué « la prise de conscience qu'a suscité l'incendie de l'usine Lubrizol survenu en 2019 et la résolution de ce territoire à se transformer par le biais de la culture et des valeurs patrimoniales, dans l'esprit de la convention de Faro ». Lubrizol, Convention de Faro, Capitale Européenne de la Culture 2028 : un renouvellement sous un prisme réinventé Cette nouvelle stratégie porte un réel changement de posture qui intègre une nouvelle façon de valoriser nos patrimoines, modifie les codes habituels tant dans la sémantique utilisée (on parlera davantage d’hospitalité que d’attractivité du territoire par exemple), que dans les actions menées (Journées du Matrimoine et du Patrimoine,…), la manière dont elles sont mises en œuvre (ateliers participatifs artistiques dans des quartiers NPNRU,…) et les ressources mobilisées (experts, associations mais aussi guides-habitants). L’accident industriel généré par l’entreprise Lubrizol, en 2019, est venu ébranler les certitudes de notre territoire. Une politique ambitieuse en matière de transition écologique a donc été décidée par les élus métropolitains dans l’optique de modifier intégralement nos manières de vivre pour les générations futures. Il s’agit alors de faire prendre un tournant radical aux actions publiques sur le territoire en faveur du développement durable (suite de la Cop 21, Capitale du Monde d’Après et Forum de la résilience, Pavillon des transitions…). Cette stratégie s’accompagne également d’une transition sociale : il s’agit ici de modifier nos manières de vivre ensemble, de penser la ville, de se connaître et reconnaître en tant qu’individu. Cette transition sociale va nous obliger à penser différemment nos rapports à l’autre et, plus généralement, à nos communs, nos patrimoines. Ces questions viennent très clairement donner une couleur aux actions patrimoniales menées mais aussi au sein d’autres politiques publiques (urbanisme, environnement, habitat,…) avec les partenaires et les habitants. La convention de Faro, convention cadre sur la valeur du patrimoine culturel pour les sociétés, portée par le Conseil de l’Europe, correspond précisément aux axes que la Métropole donne à son action. Ce texte dans son rapport étroit aux Droits de l’Homme et à la démocratie, défend une vision plus large du patrimoine et de ses relations avec les communautés et la société. La convention de Faro nous encourage à prendre conscience que l’importance du patrimoine culturel tient moins aux objets et aux lieux qu’aux significations et aux usages que les gens leur attachent et aux valeurs qu’ils représentent. La Convention de Faro est donc un engagement démocratique fort qui ne positionne plus le patrimoine uniquement comme un élément d’attractivité d’un territoire mais comme une ressource. La Métropole et son service Patrimoine ont ainsi choisi d’orienter les projets dans le sens des principes de la convention de Faro jusqu’à rendre visible son engagement par une adhésion symbolique de la Ville de Rouen et de la Métropole Rouen Normandie à la convention Faro, en octobre 2022, dans le cadre du « Forum de la Résilience / Rouen Capitale du Monde d’Après », en présence des représentants du Conseil de l’Europe. Cette convention a imprégné le dossier de renouvellement, notamment dans la sémantique utilisée, qui nous amène à penser la conservation, la protection, la restauration, la médiation et la valorisation des patrimoines sous d’autres angles tels que l’hospitalité du territoire, la transition sociale et écologique de nos cadres de vie ou encore la pluralité des récits du territoire. Pluralité des récits du territoire largement valorisée dans notre candidature pour être Capitale européenne de la Culture 2028 également. Ce n’est pas une Ville qui candidate, mais bien un territoire, et la Seine. Pour répondre à ces objectifs, voici les différents axes de la stratégie qui sera poursuivie au cours des 10 prochaines années : Développer l’hospitalité de notre territoire (Tourisme) - En s’appuyant sur un écosystème important (grâce notamment à Rouen Normandie Tourisme et Congrès (Office de tourisme), Rouen Normandie Sites et Monuments (Régie des équipements patrimoniaux), la Réunion des Musées Métropolitains) pour créer une dynamique d’accueil. - En inventant de nouvelles manières d’accueillir (tourisme durable, visites expérientielles, guides habitants, village patrimoine…) - En œuvrant pour créer des espaces d’échanges avec les nouveaux arrivants afin de donner à lire et à comprendre nos espaces publics au regard d’où ils viennent (nouveaux habitants, personnes réfugiées, …) - En proposant une meilleure compréhension de notre patrimoine industriel, notamment en ouvrant le dialogue avec les entreprises. Accompagner la transition sociale et écologique du cadre de vie (Urbanisme) - En accompagnant les projets d’urbanisme tel que l’ANRU dans l’échange et l’information des habitants au travers d’actions artistiques permettant une meilleure compréhension des chantiers et un tracé des trajectoires de vie des hommes et du bâti. - En accompagnant les recherches en amont des projets pour mieux comprendre un quartier ou en donnant la parole aux habitants sur leur vécu et leur connaissance de ces quartiers. - En procédant à des recensements (Cités jardins, Reconstruction) et en faisant le lien avec le PLUI, ou en caractérisant des typologies de bâtis pour les intégrer au cadastre énergétique (dans le but de proposer des isolations thermiques respectueuses de l’identité du bâti). - En abondant les réflexions vers une OAP Territoire de Seine (avec le CPIER Vallée de Seine, Observatoire Photographique du Paysage Vallée de Seine…) Écouter et donner à entendre la pluralité des récits d’un territoire (Culture) - En continuant les propositions pour les publics scolaires (visites et ateliers), mais aussi les dispositifs (CTEJ, enfants du patrimoine), tout en en inventant de nouveaux - En développant des évènements grand public qui créent des moments de convivialité dans des lieux patrimoniaux (Journées du Ma.Patrimoine, Festivals Zig Zag, Pierres en lumière, Spring) mais aussi des événements insolites à inventer - En confortant les partenariats scientifiques, avec le master « Valorisation du patrimoine » de l’Université de Rouen Normandie pour consolider la filière professionnelle des guides conférenciers, mais aussi avec les laboratoires de recherche, le Service régional de l’Inventaire (SRI) et l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Normandie (ENSAN). - En soutenant les démarches associatives du territoire, terreaux de la dynamique de nos « communautés patrimoniales ».  

L'art plastique submerge le Pavillon des transitions

2 mois 1 semaine ago
Les œuvres de George Nuku interrogent nos rapports à la nature, à notre société de consommation et au plastique. À découvrir jusqu'au 30 novembre au Pavillon des transitions. Conformément aux engagements pris dans le cadre de la démarche "Métropole zéro pollution plastique" adoptée en mars 2022, et dans la perspective de l’Armada 2023 (8-18 juin), le Pavillon des transitions accueille deux expositions dédiées à la préservation des océans et à la lutte contre les pollutions plastiques, regroupées sous le nom de Océans de plastique(s). Jusqu'en novembre, les visiteurs peuvent découvrir les œuvres de l’artiste maori George Nuku, créées à partir de plastique et de polystyrène récupérés sur les littoraux, et déambuler en famille au sein de l’exposition scientifique proposée par l’expédition MED permettant de découvrir les enjeux, les causes et les conséquences de la pollution plastique des océans. Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie, Charlotte Goujon, Vice-Présidente en charge de la transition écologique, la santé, la sécurité sanitaire et industrielle, Luce Pane, Vice-Présidente en charge de l’énergie et des déchets, et Hugo Langlois, Conseiller Métropolitain délégué à la protection, la valorisation et la gestion de la Seine : "Notre candidature pour être Capitale Européenne de la Culture en 2028 est celle du fleuve, et de sa préservation aujourd’hui et pour les générations futures. L’exposition Océans de Plastique(s) est l’occasion d’allier art et sensibilisation aux enjeux écologiques : un moyen ludique et accessible à tous de questionner nos modes de consommation et notre rapport à la nature et aux déchets. Cette thématique est d’ores et déjà au cœur de nos actions en cette année marquée par la Seine et sa préservation. Nous avons par exemple signé une convention de partenariat avec l’Armada pour que l’événement soit engagé dans une démarche Zéro Pollution Plastique. Il est temps de faire face à ces problématiques, trop longtemps ignorées." Ces deux expositions sont réunies sous une thématique globale : Océans de Plastique(s). Un programme de médiation autour de ces deux expositions sera décliné pour les différents publics tout au long de l’année sous la forme d’ateliers, de conférences et de diverses animations. En proposant ces expositions gratuites, la Métropole Rouen Normandie ambitionne de sensibiliser les habitants et tous les acteurs du territoire à la protection des milieux aquatiques.       L’exposition immersive « Bottled Ocean 2123 » À partir de plastique et de polystyrène récupérés sur les littoraux, l’artiste maori Georges Nuku, installé à Rouen, recrée des fonds marins en se projetant dans l’avenir : si le plastique continue à envahir nos océans, la faune et la flore marines deviendront elles-mêmes du plastique. Cette exposition présentée pour la première fois à Rouen en 2015 a fait le tour du monde en s’enrichissant avant de revenir s’installer au Pavillon des transitions, avec des œuvres qui interrogent nos rapports à la nature, à notre société de consommation et au plastique. Elle est présentée de façon immersive : des lumières, reflétées sur les œuvres en matière plastique, permettent de se plonger dans un décor à la fois surprenant et intriguant. Les artistes puisent souvent dans des matières nobles pour nourrir leur inspiration. Le bois, le marbre, le verre... À contre-courant, l’artiste a décidé de faire surgir la beauté en convoquant le substrat déclaré ennemi juré de l’environnement : le plastique. Pour l’artiste, qui considère que le monde a engagé un processus de mutation chimique : "La bouteille plastique est devenue un totem de la vie moderne. Source de pollution, elle est aussi un élément vital pour l’homme. Elle contient l’eau potable et permet de la faire circuler. (...) Quand la calotte polaire aura définitivement fondu, la planète sera recouverte d’eau salée. Seuls ceux qui auront su s’adapter survivront. " Alors, peut-être les baleines, les poissons, les algues, les coraux seront en plastique. En l’intégrant dans son art, George Nuku sublime cette matière sans nier sa dangerosité. « La pire des choses qu’on puisse faire face à un monstre, c’est de l’ignorer. » De quoi stimuler notre envie de "bâtir une nouvelle relation avec le monde fragile qui est notre maison." Submergé d’emblée par une vague de plastique géante, le visiteur se retrouve immergé dans l’œuvre de George Nuku. L’exposition Bottled Ocean se vit et s’éprouve comme une vision dystopique d’un océan plastique. Un futur à la fois stupéfiant et terrifiant, à l’image de la pieuvre géante qui s’installera durant l’exposition dans les murs du Pavillon des transitions et en restera la propriété. Cette exposition s’enrichira au fur et à mesure des semaines avec des ateliers participatifs grand public et avec les scolaires, permettant d'acheve la création d’éléments de l’exposition. Les ateliers grand public en présence de l’artiste auront lieu dimanche 19 mars. Ils comprennent une visite commentée par l’artiste et un atelier de création. Pavillon des transitions

Le grand nettoyage numérique

2 mois 2 semaines ago
Du 13 au 18 mars, la Métropole se mobilise à l'occasion du Digital Cleanup Day, la semaine mondiale de sensibilisation à l'empreinte environnementale numérique. Le Digital Cleanup Day est une semaine mondiale de sensibilisation à l’empreinte environnementale du numérique, portée par le World Cleanup Day et l’Institut du Numérique Responsable, qui a lieu en mars chaque année. L’objectif de cette semaine d’actions : générer une prise de conscience sur la pollution numérique engendrée par nos usages, en invitant particuliers, écoles, collectivités, entreprises et associations à agir concrètement. La Métropole  déploie un programme complet d’animations et d’opérations tout au long de cette semaine. Ateliers pratiques, collecte d’équipements électroniques, Repair Café, messages de sensibilisation... De nombreux temps forts seront à découvrir dans les communes du territoire. Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie, et Abdelkrim Marchani, Vice-Président en charge de l'économie, l'attractivité, l'enseignement supérieur et la recherche, la vie étudiante, le numérique - L'Europe et l'international : "L’impact de la pollution numérique est encore aujourd’hui minimisé. Présenté un temps comme l’alternative à la pollution papier, le digital s’avère être lui-aussi une source d’émissions de gaz à effet de serre qui ne cesse de croître. Avec le Digital Cleanup Day, nous nous engageons aujourd’hui pour préserver le climat de demain, pour un numérique plus propre et plus responsable. Faire converger transition numérique et transition écologique, c’est possible." Des actions accompagnées par la Métropole Rouen Normandie Tout au long de la semaine, un programme d’animations autant à destination des agents de la collectivité que du grand public est déployé afin de sensibiliser aux enjeux du numérique responsable et de donner des clefs de compréhension et des moyens d’action concrets. Des ateliers Cleanup sont organisés dans de nombreuses communes du territoire, permettant de nettoyer les données de ses outils informatiques en étant accompagné par des professionnels et de recycler ou remployer du matériel informatique usagé. Des modules d’accompagnement au nettoyage et des box de collecte sont ainsi mis en place dans les communes de Saint-Pierre-lès-Elbeuf, Rouen, Sotteville-lès-Rouen, Mont-Saint-Aignan, Elbeuf, Canteleu, Saint-Pierre-de-Manneville, Malaunay et Duclair. Ces mêmes ateliers et box de collecte sont mis en place dans des entreprises et administrations du territoire afin de permettre aux salariés et agents de la fonction publique de participer, eux-aussi, à ce grand nettoyage numérique. Le coût de la collecte en box est pris en charge par la Métropole, en partenariat avec Fourmize et Ecosystem. Les structures partenaires se voient ainsi accompagnées dans cette opération vertueuse : Cerema, Webaxys, Le Kaléidoscope, CARSAT Normandie, Habitat 76, Socaps, ATMO Normandie, Transdev, Koesio, Réseau Canopée, Knauf Industries, CAF Seine-Maritime, Haropa, Matmut, MJC Elbeuf, Maison pour tous à Sotteville-lès-Rouen, Proxiad et Echos. La Métropole Rouen Normandie déploie également ces opérations Cleanup en organisant des ateliers sur les cinq sites de travail de ses agents. Des box de collecte d’équipements électroniques sont mises en place toute la semaine à disposition du grand public. Les habitants peuvent ainsi déposer leurs équipements usagés dans des points de collecte installés sur quatre sites de la Métropole Rouen Normandie : au 108, au Pôle de Proximité d’Elbeuf, au Pavillon des Transitions et à Seine Innopolis. Enfin, des messages de sensibilisation seront diffusés toute la semaine via les outils de communication de la Métropole, notamment sur tous les écrans des TEOR du réseau Astuce. Une édition 2022 performante, à surpasser ! Lors de la dernière édition, en mars 2022, plus de 430 000 personnes avaient été sensibilisées au numérique responsable lors des 1 686 Cleanups, avec 1 927 To effacées et 5 472 kg d’équipements électriques et électroniques collectés et recyclés. La Métropole Rouen Normandie avait réussi à mobiliser 21 structures (entreprises et collectivités) pour 46 box de collecte (= 731 kg d’équipements numériques collectés). Une opération de sensibilisation des citoyens et des agents à la pollution cachée du numérique avait également été menée à travers les réseaux sociaux de la Métropole Rouen Normandie, accompagnée d’un affichage dans le métro et sur les supports de communication interne de la collectivité. Un plan d’actions global pour lutter contre la pollution numérique Cette opération s’inscrit dans une démarche large. La Métropole Rouen Normandie s’est en effet fortement et concrètement engagée dans le numérique responsable, et a défini une politique en ce sens. Plusieurs actions sont mises en œuvre comme des formations et des boîtes à outils à destination des entreprises, ou encore l’accueil de l’IntercoTOUR le 13 décembre dernier à Rouen. En accord avec la loi REEN du 15 novembre 2021, la Métropole s’est engagée à faire converger transition numérique et transition écologique. Ce texte de loi s’articule autour de cinq objectifs : - Faire prendre conscience de l'impact environnemental du numérique, - Limiter le renouvellement des appareils numériques, - Favoriser des usages numériques écologiquement vertueux, - Promouvoir des datacenters et des réseaux moins énergivores, - Adopter une stratégie numérique responsable. En effet, le numérique représente aujourd’hui 3 à 4 % des émissions de gaz à effet de serre dans le monde et 2,5 % de l’empreinte carbone nationale. Si cette part demeure modeste comparativement à d’autres secteurs, la croissance annuelle de la consommation de numérique (volume de données, terminaux...) doit nous interroger. Selon le rapport de la mission d’information sur l’empreinte environnementale du numérique du Sénat, les émissions liées au numérique pourrait augmenter de manière significative si rien n’est fait pour en réduire l’empreinte : + 60 % d’ici à 2040, soit 6,7 % des émissions de gaz à effet de serre nationales. Dans cette problématique, la phase de production des terminaux semble occuper une place toute particulière en ce qu’elle concentrerait 70 % de l’empreinte carbone du numérique en France, selon le même rapport. Les événements du Digital Cleanup Day  Voir le dossier du Mag consacré au numérique responsable

Show de haut vol

2 mois 2 semaines ago
Les plus grands athlètes du monde se retrouvent au Perche Élite Tour, concours international de saut à la perche, samedi 11 mars au Kindarena à Rouen. Le Kindarena accueille le samedi 11 mars  l’étape rouennaise du Perche Elite tour. Après les étapes de Bordeaux, Tourcoing et Clermont-Ferrand en début d’année, le 2e meeting mondial de saut à la perche fait son grand final à Rouen et attend plus de 5 000 spectateurs. Il rassemble des athlètes de niveau international, avec notamment des grands noms de la discipline tels que, chez les hommes, les Américains Chris Nilsen, tenant du titre et recordman de la salle (6,05 m en 2022), Sam Kendricks, KC Lightfoot, et les Français Valentin Lavillenie, Thibaut Collet, Alioune Sène. Chez les femmes, on attend un duel entre la Slovène Tina Sutej et la Canadienne Alysha Newman, sans oublier les Françaises Ninon Chapelle, Margot Chevrier et Élise Russis, l’espoir de la discipline, originaire de Freneuse. La Métropole est le premier partenaire de cet événement sur le territoire, avec un accompagnement financier de 62 400€. Le Perche Élite Tour de Rouen du 11 mars propose des concours tout au long de la journée et se termine par le concours international à 19h30. Ouverture des portes dès 18h30. Informations pratiques et réservation des places

Capitale européenne de la culture 2028 : l'aventure continue pour Rouen !

2 mois 3 semaines ago
Rouen Seine Normande 2028 est retenue parmi les lauréats de la première phase de sélection pour la candidature au titre de Capitale européenne de la culture. Le projet Rouen Seine Normande 2028, Capitale européenne de la culture a retenu l’attention du jury européen. La vallée de Seine normande entre ainsi dans la seconde séquence de la candidature au titre de Capitale européenne de la culture. Le travail entrepris depuis 2019 et la création de l’association qui porte la candidature de la ville de Rouen au titre de Capitale européenne de la culture 2028 a porté ses fruits. Après une phase de diagnostic qui a permis d’établir le territoire de candidature à l’échelle de la vallée de Seine normande, l’ensemble des collectivités s’est impliquée dans un projet structurant soumis au jury européen le 2 janvier 2023. « C’est une première victoire ! Nous avons construit un projet solide, dont la justesse a été reconnue par le jury, explique Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen et Président de la Métropole Rouen Normandie. C’est un projet convaincant, qui prend la mesure des défis climatiques et sociaux, et place la culture au cœur des réponses à apporter. Maintenant, j’appelle tous les acteurs, artistes, citoyens, entreprises, associations, élus, collectivités, à rejoindre notre dynamique pour aller chercher la victoire ! » Pour Rebecca Armstrong, Déléguée générale de Rouen Seine Normande 2028 : « Nous sommes très heureux de ce résultat, preuve de l’implication et de l’engagement d’une équipe et de tout un territoire au service d’un projet fédérateur. Notre responsabilité est maintenant de poursuivre le travail pour finir de convaincre le jury de l’intérêt qu’il y a pour l’Europe à désigner la vallée de Seine normande Capitale européenne de la culture en 2028. Ce que nous ferons ici aura lieu dans l’échange avec les autres vallées européennes, dans un véritable dialogue des fleuves. » Jeudi 2 mars 2023, une délégation a défendu le projet devant un jury au Ministère de la culture, jury composé de 12 professionnels européens de la culture, dont deux français. Cette délégation était composée de : • Rebecca Armstrong, Déléguée générale de la candidature • Joséphine Billey, paysagiste à l’Agence d’urbanisme Le Havre-Estuaire de la Seine • Christophe Bouillon, Maire de Barentin et Président de l’association des petites villes de France • Danaë Castro-Perez, Chargée des initiatives jeunesse et de l’international à la Maison des jeunes et de la culture de la Région d’Elbeuf • Delphine Crocq, Directrice générale de Rouen Normandie Tourisme et Congrès • Marie Dupuis-Courtes, Présidente de l’association Rouen Seine Normande 2028 • Jean-Gabriel Guyant, Responsable des relations internationales de l’association • Philippe Kauffmann, Conseiller artistique pour Rouen Seine Normande 2028 • Thomas Malgras, Secrétaire général et relations aux collectivités pour Rouen Seine Normande 2028 • Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen et Président de la Métropole Rouen Normandie Présentation complétée par les messages vidéo de : • Benoit Laignel, Membre du Giec international et Vice-Président de l’Université Rouen Normandie • Catherine Morin-Desailly, Vice-Présidente de la Région Normandie et Sénatrice • Édouard Philippe, Maire du Havre et ancien premier ministre Au lendemain de cet oral qui a eu lieu au Ministère de la Culture, le jury a désigné Rouen parmi les villes qui entraient dans la seconde phase de la candidature qui aboutira, fin 2023, à la désignation de la ville Capitale européenne de la culture 2028. La séquence qui s’ouvre consiste à préparer un dossier étoffé au jury, en affinant et enrichissant le projet. Suite à cette remise de dossier, après l’été 2023, une délégation des jurés viendra à Rouen jauger sur place de la solidité de la candidature. Puis, après un nouvel oral, le jury fera son choix définitif. SAVE THE DATE : Le 6 mars 2023 à 12h, Nicolas Mayer-Rossignol et Rebecca Armstrong vous présenteront le contenu du dossier de candidature et détailleront les prochaines étapes de la candidature lors d’un point presse au Kaléidoscope, 29 Rue Victor Hugo à Petit-Quevilly. LA CANDIDATURE ROUEN SEINE NORMANDE 2028 Le territoire de la candidature de Rouen Seine Normande 2028 part de la ville de Rouen et de sa Métropole et s’étend le long de la vallée de Seine normande, de Giverny au Havre, jusqu’à Honfleur. Les collectivités du territoire ont exprimé leur volonté profonde de travailler ensemble, avec les habitants, les artistes, les entreprises, les associations et tous les acteurs culturels pour métamorphoser le territoire grâce au levier que constitue le label Capitale européenne de la culture. Rappel du calendrier de la candidature en France : Fin 2023 : Désignation la ville retenue 2024-2028 : Phase de mobilisation et de production du projet 2028 : Rouen Seine Normande devient Capitale Européenne de la Culture DEVENIR CAPITALE EUROPÉENNE DE LA CULTURE EN 2028 Chaque année, la Commission européenne met à l’honneur deux ou trois villes européennes en attribuant le titre Capitale européenne de la culture. Les villes sélectionnées peuvent ainsi, le temps d’une année, promouvoir leur patrimoine et leur dynamisme culturel au travers de nombreux événements. Devenir Capitale européenne de la culture est un projet collectif et citoyen dont l’ambition est de transformer durablement le territoire et son image par le biais de la culture. Le label est principalement accordé à des villes dites « résilientes », sachant s’appuyer sur leurs faiblesses et leurs crises pour se fixer des objectifs ambitieux de transformation du territoire sur le long terme en utilisant la culture comme un levier. Depuis les origines du programme en 1985, plus de 60 villes ont déjà reçu ce label, dont quatre villes françaises : Paris (1989), Avignon (2000), Lille (2004) et Marseille (2013). En 2028 une nouvelle ville française sera sélectionnée, aux côtés d’une ville tchèque (Broumov ou Ceské-Budejovice) et d’une ville d’un pays non-membre (Budva au Monténégro ou Skopje en Macédoine du Nord). Plus d'infos, sur le site de l'association Rouen Seine Normande 2028

Capitale européenne de la culture : 50 soutiens pour Rouen Seine Normande 2028

3 mois ago
Le projet Rouen Seine Normande 2028, Capitale européenne de la culture est soutenu publiquement par une cinquantaine de professionnels de la culture et du secteur social qui affichent leurs souhaits pour la candidature. 50 professionnels de la culture et du secteur social soutiennent publiquement la candidature Rouen Seine Normande 2028 au titre de Capitale européenne de la culture. Ces 50 personnes représentent tout le territoire de candidature, la vallée de Seine normande. Et certains envoient même leur soutien depuis les villes européennes avec lesquelles Rouen Seine Normande 2028 a construit son projet. Pour Rebecca Armstrong, Déléguée générale de Rouen Seine Normande 2028 : « Ces soutiens interviennent à quelques jours de la fin de la première phase de candidature. Ils soulignent l’intérêt pour le projet de la part des forces vives du territoire. » Retrouvez tous les soutiens sur la page dédiée du site Internet de la candidature. Chacun peut marquer son soutien à la candidature Rouen Seine Normande 2028 en téléchargeant les éléments du kit supporter et en les affichant sur les réseaux sociaux. Jeudi 2 mars 2023, une délégation de dix personnalités sera reçue par le jury européen au Ministère de la culture, jury composé de 12 professionnels européens de la culture, dont deux Français. Les résultats de cette première phase de candidature seront connus le 3 mars en fin d’après-midi. Trois ou quatre villes poursuivront le processus jusqu’à fin 2023, moment où le jury désignera la ville française qui sera Capitale européenne de la culture en 2028. La candidature Rouen Seine Normande 2028 Le territoire de la candidature de Rouen Seine Normande 2028 part de la ville de Rouen et de sa Métropole et s’étend le long de la vallée de Seine normande, de Giverny au Havre, jusqu’à Honfleur. Les collectivités du territoire ont exprimé leur volonté profonde de travailler ensemble, avec les habitants, les artistes, les entreprises, les associations et tous les acteurs culturels pour métamorphoser le territoire grâce au levier que constitue le label Capitale européenne de la culture. Rappel du calendrier de la candidature en France : Fin 2023 : Désignation la ville retenue 2024-2028 : Phase de mobilisation et de production du projet 2028 : Rouen Seine Normande devient Capitale Européenne de la Culture Devenir capitale européenne de la culture 2028 Chaque année, la Commission européenne met à l’honneur deux ou trois villes européennes en attribuant le titre Capitale Européenne de la Culture. Les villes sélectionnées peuvent ainsi, le temps d’une année, promouvoir leur patrimoine et leur dynamisme culturel au travers de nombreux événements. Devenir Capitale Européenne de la Culture est un projet collectif et citoyen dont l’ambition est de transformer durablement le territoire et son image par le biais de la culture. Le label est principalement accordé à des villes dites « résilientes », sachant s’appuyer sur leurs faiblesses et leurs crises pour se fixer des objectifs ambitieux de transformation du territoire sur le long terme en utilisant la culture comme un levier. Depuis les origines du programme en 1985, plus de 60 villes ont déjà reçu ce label, dont quatre villes françaises : Paris (1989), Avignon (2000), Lille (2004) et Marseille (2013). En 2028 une nouvelle ville française sera sélectionnée, aux côtés d’une ville tchèque (Broumov ou Ceské-Budejovice) et d’une ville d’un pays non-membre (Budva au Monténégro ou Skopje en Macédoine du Nord).

Des tarifs réduits dans les musées de l’Axe Seine

3 mois 2 semaines ago
Un ticket d’entrée acheté dans l’un des musées de Paris, de Rouen ou du Havre permet désormais un accès à tarif réduit dans tous les autres musées. Le 3 mai 2022, à l’occasion de l’Acte IV de l’Axe Seine, les collectivités fondatrices de l’Entente Axe Seine*1 ont décidé de mettre en place des conditions d’accès facilitées et attractives dans leurs musées. Une façon de faire découvrir les collections des musées de la Vallée de la Seine. « La Seine a toujours été un creuset culturel et touristique. Elle a inspiré les plus grands artistes et les révolutions picturales du 19e siècle. Les 150 ans de l’Impressionnisme nous donnent une magnifique occasion de promouvoir la beauté et la diversité de notre territoire. La mise en place d’une tarification attractive dans nos musées valorise notre patrimoine, décuple le potentiel touristique de la Vallée de la Seine et crée des coopérations entre nos établissements culturels. C’est une première étape qui sera suivie de bien d’autres initiatives », affirment Édouard Philippe, Président de la Communauté urbaine Le Havre Seine Métropole et Président de l’Entente Axe Seine, Anne Hidalgo, Maire de Paris, Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie, et Patrick Ollier, Président de la Métropole du Grand Paris, représentants des collectivités fondatrices. 1 Un ticket acheté dans un musée = un tarif réduit pour les autres musées Depuis le 2 janvier 2023, un billet plein tarif acheté dans l’un des musées de Paris, de Rouen ou du Havre permet d’accéder à un tarif réduit dans tous les autres musées des villes participantes*2. Une convention de partenariat a ainsi été signée entre la Métropole Rouen Normandie, la ville du Havre et l’établissement public Paris Musées. Le dispositif est mis en place pendant un an à titre expérimental. Le ticket est valable pour une personne, sur présentation d’un ticket acheté dans un autre musée partenaire. Les EPCI de la Seine Aval qui ont récemment rejoint l’Entente Axe Seine pourront intégrer le dispositif. 2 Promouvoir la culture sur la Vallée de la Seine L’ambition de l’Entente Axe Seine est de promouvoir le fleuve et ses territoires sur toutes les thématiques qui les unissent (économie, patrimoine, culture, industrie, espaces naturels). C’est pourquoi, à l’instar de Nuit Blanche en juin, du Big Jump en juillet et maintenant la tarification réduite dans les musées, l’Entente Axe Seine multiplie les occasions de promouvoir l’attractivité culturelle et touristique de la Vallée de la Seine. D’autres initiatives sont d’ores et déjà en cours de calage : à l’automne 2023, un projet collectif va être mis en place pour une saison culturelle commune associant le Centre Pompidou et de nombreux musées de l’Axe Seine. *1 Depuis le 6 décembre 2023, la Métropole du Grand Paris, la Ville de Paris, la Métropole Rouen Normandie et la Communauté urbaine Le Havre Seine Métropole sont désormais rassemblées autour de l’Entente Axe Seine. Une démarche de coopération qui rassemble une majorité d’EPCI de la Seine aval autour de coopérations en faveur de la transition écologique, économique et énergétique du territoire. *2 Dispositif mis en place uniquement pour les expositions temporaires dans les musées de Rouen, Paris et Le Havre en gestion des EPCI. Pour Paris Musées : la Crypte archéologique de l’Ile de la Cité, les Catacombes de Paris, la Maison de Balzac, la Maison de Victor Hugo, le Musée Bourdelle, le Musée Carnavalet, le Musée Cernuschi, le Musée Cognacq-Jay, le Musée de la Libération, le Musée du Général Leclerc, le Musée Jean Moulin, le Musée de la Vie romantique, le Musée d’Art Moderne de Paris, le Musée Zadkine, le Palais Galliera, le Petit Palais ; pour les musées de la Métropole de Rouen : le Musée des Beaux-Arts, le Musée de la Céramique, le Musée Le Secq des Tournelles, le Musée Beauvoisine, le Musée Flaubert et d’Histoire de la Médecine, le Musée Pavillon Flaubert, le Musée Maison des Champs Pierre-Corneille, le Musée Maison Natale de Pierre Corneille, le Musée Industriel de la Corderie Vallois, le Musée Fabrique des Savoirs ; pour les musées de la Ville du Havre : le MuMa, musée d’art moderne André-Malraux, le muséum d’histoire naturelle, la maison de l’Armateur, l’hôtel Dubocage de Bléville, l’abbaye de Graville.

Opéra de Rouen : l'État se mobilise

3 mois 2 semaines ago
L'État a entendu l'appel de la Métropole et se mobilise pour sauver notamment l'Opéra pour les enfants. Face aux difficultés financières de l’Opéra, le Président de la Métropole Rouen Normandie, Nicolas Mayer-Rossignol, avait alerté et saisi par courrier il y a une semaine la Ministre de la Culture Rima Abdul Malak. Il appelait notamment à un effort de solidarité financière de l’ensemble des partenaires. L’appel a été entendu. Hier soir, l’État confirmait un soutien complémentaire de 200 K€, qui prend deux formes : une enveloppe supplémentaire de 129 000 € au titre du dispositif énergie et une aide exceptionnelle de 70 000 €. La Métropole Rouen Normandie sera également au rendez-vous. La séance plénière de lundi dernier a montré une mobilisation de tous les élus, au-delà des sensibilités partisanes, et permis de dégager un large consensus pour soutenir l’Opéra. Il sera donc proposé aux élus de voter 300 000 € de financement métropolitain exceptionnel supplémentaire, notamment pour sauver les séances d'Opéra participatif de la saison 2023, si attendues par les enfants, leurs familles et les écoles. Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie, et Laurence Renou, Vice-Présidente en charge de la culture : « Nous remercions vivement Madame la Ministre pour ce soutien, ainsi que la Région Normandie. La mobilisation exceptionnelle de 300 000 € de la Métropole permettra, nous l'espérons, de sauver la programmation 2023 de l’Opéra participatif des enfants, que le Conseil d’administration de l’Opéra du 2 février avait dû se résoudre à annuler. Il s’agit également avec cette décision d’adresser aux équipes, au public et à tous les amoureux de l’Opéra un message de soutien et de mobilisation collective dans une période où de nombreuses inquiétudes s’expriment, à Rouen comme dans d’autres villes de France. Nous le disons clairement : pour nous, la culture est essentielle. Par cette décision nous réaffirmons aussi notre engagement collectif au projet Rouen Seine Normande Capitale européenne de la Culture 2028. » Ce soutien exceptionnel de 300 000 € s’ajoutera ainsi aux 1,3 M€ de participation, aux 400 000 € d’aide au loyer et au programme de rénovation du Théâtre des Arts (250 000 €/an depuis 4 ans) que verse la Métropole chaque année. Soit un total porté dès 2023 à 2,250 M€/an pour ce qui concerne le soutien financier de la Métropole Rouen Normandie à l’Opéra, ce qui en fait son deuxième plus important financeur. Aucun autre équipement culturel du territoire n’est soutenu à une telle hauteur. À plus long terme, l’enjeu est bien de consolider de façon pérenne le budget de l'Opéra, confronté à des difficultés à la fois conjoncturelles et structurelles et de permettre ainsi à l'établissement d’inscrire dans le temps long son projet culturel et artistique. Les échanges entre partenaires devront tenir compte de l’ensemble des financements publics au bénéfice de la culture et de ses équipements, à l’échelle du territoire métropolitain. La Métropole prendra toute sa part, comme elle l’a toujours fait. Les délibérations nécessaires seront soumises dès que possible aux organes délibérants de la Métropole.
Vérifié
2 heures 49 minutes ago
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